750 grammes
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13 avril 2008 7 13 /04 /avril /2008 19:28
Dimanche + pluie = thé + gâteau

Et en allant faire un tour sur le blog de
M’sieur Chandelin, celui-ci entre deux articles d’informatique de précision parle de cake. Ah... ben ça, ça m’intéresse...

Voilà donc la recette du cake aux agrumes Chandelinesque (vous avez la
version originale ici) et ensuite je vous donne la mienne.

Hep Maâme Epine Noire...

... la recette du cake aux agrumes, comme promis.

3 oeufs
180 grammes de farine
150 grammes de beurre
170 grammes de sucre
2 citrons non traités
1 demi sachet de levure chimique
1 pincée de bicarbonate de soude alimentaire

Pour ma part, j'ai changé ces proportions :
100 grammes de farine de blé, 80 grammes de farine de maïs (maizéna)
50 grammes de beurre
1 demi cuillère à café de bicarbonate. Je baisserai prochainement.
... et prochainement... je baisserai la dose de sucre. J'essaierai à 100 grammes, pour voir.
Déjà, à ce stade, le foie dit merci, et le cholesterol est moins sollicité. Je ne comprends pas l'intérêt d'une dose de beurre aussi énorme : le cake est nettement moins digeste.

La recette d'origine préconise de préchauffer le four à 180° (th. 6) avant le début des opérations. Je ne le fais qu'une fois que TOUS les ingrédients sont préparés. A quoi bon préchauffer le four si tôt, alors qu'il sera prêt bien avant la fin de la préparation ?

Préparation
Oeufs sortis, sucre pesé, farine+maizena pesées, 1/2 sachet de levure chimique dans la farine.
un des deux citrons lavé, séché et pelé avec un économe pour récupérer sa peau,
découpage en petits morceaux de la peau pelées avec une paire de ciseaux,
les deux citrons pressés et le jus récupéré mélangé avec les copeaux de peau,
bicarbonate à portée de main,
les 50 grammes de beurre dans une petite casserole, mais feu éteint pour le moment.
moule à cake beurré et fariné, prêt à accueillir la pâte,
préchauffage du four à 180°.

En avant
A ce stade, j'utilise lâchement un batteur électrique
Battre les 3 oeufs avec le sucre, jusqu'à obtention d'un mélange mousseux, qui a légèrement augmenté de volume.
Allumer le plus petit feu sous la casserole du beurre (ça fond vite)
incorporation dosée de la farine, tout en battant énergiquement.
Une fois terminé, incorporation du beurre fondu, tout en battant.
Cette fois-ci, je remue à la fourchette la pâte en incorporant le jus+zeste de citron, puis le bicarbonate de soude.

Une fois la pâte homogène, je verse dans le moule, j'enfourne, puis je laisse cuire pendant 50 minutes. Surveillance de la fin de cuisson avec un couteau. Piquer le cake gonflé. Le couteau doit ressortir sec.

C'est une recette sans prétention, mais qui nous convient, surtout au petit déj' ou accompagnant un yaourt. Toute idée d'amélioration est la bienvenue, n'étant pas fin cuistot.

Et bien voilà la photo de ton cake M'sieur Chandelin !

































OK ! Testé et approuvé par Epine noire et maintenant avec pratiquement les mêmes ingrédients un autre cake au citron.

Cassez trois oeufs entiers dans un grand bol
Ajoutez 1 tasse (l’équivalent d’un petit mug) de sucre en poudre
1 pincée de sel
Mélangez bien avec le fouet
Ajoutez 2 1/2 tasses de farine
1/2 de lait
1/2 tasse d’huile
1 paquet de levure chimique
le zeste rapé d’un citron et tout son jus
Mélangez bien avec le fouet
Allumez le four thermostat 6 (préchauffage 10 minutes environ)
Huilez le moule à cake avec un salopin et farinez-le
Versez la pate dans le moule et au four pendant environ 30 à 40 minutes. Même chose, vérifiez la cuisson avec un couteau.

Le résultat pour avoir goûté les deux cakes : on sent plus le citron dans le premier, le second est plus gonflé et un chouilla plus moelleux.

Et si les dimanches continuent comme ça, vous n’en avez pas fini avec  les ateliers pâtisseries...


épine noire & Chandelin

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31 mars 2008 1 31 /03 /mars /2008 19:17
(pour changer du poisson d’avril)

Emballé dans du papier sulfurisé et noué avec de la ficelle à rôti, tout le monde a vraiment cru que je ramenais du saucisson.

La recette n’est pas de moi et je ne me rappelle plus sur quel site je l’ai trouvée. De toute façons, j’en ai changé les quantités (comme d’habitude beaucoup trop de beurre) et puis je vais vous donner le truc pour pouvoir couper la guimauve sans que celle-ci colle au couteau, qui colle à la guimauve, qui colle aux doigts etc... et qui énerve.

Pour un saucisson :

100 grammes de spéculos
100 grammes de chocolat noir pâtissier
20  à 25 gr de beurre
4 chamallows
du sucre glace
papier d’aluminium


Réduire en semoule les spéculos (avec un rouleau à pâtisserie sur un plateau)
Mettre le chocolat en morceaux et le beurre dans un récipient qui va au micro-ondes et faire fondre le tout (sans le cuire).
Bien mélanger la préparation et ajouter les biscuits écrasés.
Avec un couteau ou des ciseaux couper les chamallows en petits morceaux et pour ne pas que ça colle tremper vos “outils” dans du sucre glace.

Ajoutez les petits bouts de chamallows à la préparation chocolat/biscuits et mélanger.

Sur une feuille de papier d’aluminium disposer le mélange de la taille d’un saucisson. Serrez-bien et fermez les extrémités. Au frigo, 2/3 heures minimum et vous pouvez entre-temps retournez le “saucisson” pour lui donner une forme un peu cabossée.

Déballez le saucisson de l’alu en veillant bien à ne pas laisser de morceaux d’aluminium puis roulez-le généreusement dans le sucre glace.

Alors ça le fait bien non ?

épine noire
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24 mars 2008 1 24 /03 /mars /2008 18:47
“Super” me dis-je, la mode des chaussures revient avec plein de couleurs ! Du vernis, de l’argent... ouais mais en y regardant de plus près c’est que du plastique ! Y’a même une vendeuse qui m’a assuré (sans rire) que c’était du très beau synthétique.  Ah ouais et moi mes calamars c’est des élastiques de bureau peut-être ???


Calamars à l’américaine (4 personnes)

1 kg de blanc de calamars ou de seiche
3 tomates
2 poivrons rouges (ou une boite)
2 gousses d'ail
2 oignons
1 verre de vin blanc
3 cuillerées d'huile d'olive
1 pincée de safran
 sel, poivre
1 pincée de piment de Cayenne (pour ceux qui aiment relevé)

Peler et hacher les oignons
Peler et hacher les gousses d'ail
Laver et couper les calamars en anneaux
Faire brunir les poivrons sous le gril, les peler, retirer les graines et les émincer (ou boite c'est plus simple)

Faire revenir les calamars à feu vif dans l'huile d'olive pendant 5 minutes,

Ajouter les oignons et les poivrons,

Les laisser fondre en remuant pendant 5 minutes
Incorporer les tomates que vous aurez mixées, l'ail, le vin blanc, le safran, sel, poivre, et le piment suivant votre goût

Cuire à couvert pendant 45 minutes
Rectifier l'assaisonnement si nécessaire et parsemer du persil ciselé

Servir avec un riz basmati (un délice)

tête de loup



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24 mars 2008 1 24 /03 /mars /2008 18:22
Quand je dis c’est de la libanaise, je parle de la recette des Keftas bien entendu ! (boulettes de viandes parfumées).



police et botanique (photo AV)

J’aurais pu faire un mauvais jeu de mot avec les Keufs-tà... Justement si on nous lit au commissariat (et le titre est accrocheur non ?), j’aimerais dire à ceux qui débarquent en uniforme et la main sur le flingue dans ma boulangerie le matin juste pour prendre leur pain qu’ils pensent aux clients lamdbas et qu’ils éteignent leur girophare. Ca me fout une de ces pétoche à chaque fois !



La première fois, je croyais que la boulangère s’était faite braquer. A chaque apparition, je ne sais pas si on va nous demander de nous allonger et de ne plus bouger. Même si je plaisante avec la vendeuse qui me demande à chaque fois “et avec ça ?” Je lui répond “la caisse !” Maintenant quand j’entends la sirène, je me dit que ça doit être l’apéro au commissariat...

Keftas

- 300 gr de viande hachée de bœuf (par un fusil à pompe de chez Manufrance hahaha, nan j’déconneuh)
- 1 gros oignon (mitraillé par une kalachnikov moulinex)
 -2 gousses d’ail (pulvérisées par un flash-ball krups)
- sel, poivre
- cumin en grains (ou carvi) (écrasé à coup de matraque Ikéa)
- persil (une bonne cuillère à soupe de derrière les fagots)



Hachez menu les ingrédients. Pilez environ une cuillère à café de cumin dans un mortier. Si vous en avez en poudre, c’est valable aussi mais moins goûteux -je sais j’ai essayé-
Mettez la viande dans un saladier avec tous les ingrédients.

Et maintenant relevez vos manches, lavez-vous les mains et malaxez tout longuement avec vos “papattes avant” de façon à obtenir une grosse boule. Il faut longuement “pitrouiller*” la viande afin d’imprégner tous les ingrédients.



Vous pouvez la mettre au réfrigérateur quelques heures (en la couvrant). Ce ne sera que meilleur, les arômes auront loisir de se diffuser (Oxébo !).

Ensuite prenez la valeur d’une cuillère à soupe de la préparation et formez un petit boudin (on n’est pas regardant sur la forme... même une quenelle). Une fois les keftas prêtes vous avez deux solutions pour les faire cuire : à la poêle avec un peu de beurre ou au four sans matière grasse (mais faudra les retourner pour qu’elles cuisent bien partout).

C’est parfait pour un apéro dînatoire car ça peut se manger aussi bien chaud que froid. Ca peut aussi servir de viande pour hamburger maison. Dans ce cas-là mettez des tomates séchées et des poivrons grillés en garniture. Bref comme diraient les modeux, c’est déclinable à l’infiniiiiiiii....
Evidemment ceci est une des multiples recettes de keftas, il en existe d’autres suivant les pays, mais celle-ci m’a été ramenée du Liban (par un copain qui avait fait son armée dans la marine et toc !)

*pitrouiller = malaxer sans tendresse (aïe !)

épine noire
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9 mars 2008 7 09 /03 /mars /2008 10:21
Trois tendrons de veaux esseulés un dimanche soir : trop tard pour se lancer dans une blanquette de veau des familles, pas motivée pour un épluchage de légumes dans les règles de l’art. Mais faut quand même préparer à manger. Les puristes vous pouvez éteindre votre ordinateur, les autres restez...

3 tendrons de veau
1 sachet de court-bouillon (oui, oui celui où y’a marqué pour “poissons et crustacés”, paske en fait c’est exactement la même composition que le bouillon qui sert à cuire la blanquette hinhinhin)
une à deux grosses cuillères à soupe de beurre
une  cuillère à soupe de farine
de la crème fraîche ou du lait en poudre
assaisonnement (sel, poivre, bouquet garni)
une poignée de julienne de légumes surgelés

Dans une sauteuse, diluez  le sachet de court-bouillon dans l’eau froide et y mettre les tendrons qui doivent être recouverts. Faire chauffer jusqu’à bouillonnement.

Dans une casserole, préparer un “roux” : faire fondre le beurre, ajoutez la farine, mélangez bien et versez au fur et à mesure le bouillon de cuisson jusqu’à la consistance voulue. Épais, pas épais, c’est vous qui voyez. Pour une consistance crémeuse, ajoutez de la crème fraîche (j’ai mis une cuillère à soupe de lait en poudre ben quoi ?). Assaisonnez.

La viande est cuite ? Jetez le bouillon et versez la sauce. Ajoutez dedans la julienne de légumes décongelée et hop un dernier coup de chauffe ! Pas vu, pas pris ! On s’y croirait. De la vraie blanquette en 1 heure chrono. Et pour ceux qui aiment les champignons, ça doit bien exister en boîte ?

Résultat : bluffant !

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Et en ce dimanche où il faisait trop beau (y'a 15 jours hein...) pour rester en cuisine, l’appareil photo ayant servi (donc batterie à plat), je vous mets une photo, non pas de la blanquette mais de quelque chose qui embaumait la rue...









Veautez !

Private joke pour une amie qui va dépouiller les bulletins de vote ce dimanche. Habitant une région principalement vinicole, des p'tits rigolos ont fait une liste en demandant la remise en service immédiate du château d'eau... pour les vignerons ! Et sur l'affiche, ils sont tous en train de picoler !

Ca donne des idées...

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épine noire

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26 février 2008 2 26 /02 /février /2008 21:59
undefinedIl faisait un froid de canard en ce samedi de février et une des Rabelaisines était venue avec son bricoleur/dépanneur. Une fois les trois suspensions de ma cuisine changées, (une pile au-dessus de la gazinière, une autre exactement au-dessus de l’évier et l’autre pour faire joli) fallait bien restaurer les bricoleurs.

Et comme cela fait deux fois de suite qu’on me complimente sur mes carbonaras, alors vous n’y échapperez pas, voici la recette (qui s’approche au mieux de l’originale mais avec 3 fois moins d’oeufs dedans).

Les quantités sont au poil de pifomètre, donc n’hésitez pas à adapter suivant les goinfres...

pour 2 à 3 personnes
1 sachet de lardons fumés
1 à 1 tranche 1/2 d’épaule par personne
1 à 2 gousses d’ail
1 gros pot de crème fraîche
1 sachet de parmesan
du poivre
du persil
des spaghettis
et 1 jaune d’oeuf cru par personne !

Hachez menu l’ail, coupez en lanière ou en carrés l’épaule.
Faites chauffer un peu de beurre dans une sauteuse, mettez-y l’ail et les lardons. Faire revenir en mélangeant. Ajoutez l’épaule, continuez la cuisson à feu moyen en remuant (pas plus de 5 minutes suivant la quantité). Versez la moitié du pot de crème fraîche et une grosse cuillère à soupe de parmesan. Mélangez bien sans faire bouillir. Poivrez et vous pouvez arrêter la cuisson puisque la garniture est prête. Pensez à mettre un couvercle sur la préparation.

Plus tard, si vous le souhaitez, après l’apéritif par exemple... Faites cuire les spaghettis al’dente, égouttez-les, remettez-les dans la casserole de cuisson (feu éteint) ajoutez le restant de crème fraîche et une cuillère à soupe de parmesan. Mélangez bien et couvrez.

Pendant la cuisson des spaghettis, préparez les oeufs en séparant les blancs des jaunes et en gardant le jaune dans la coquille. Mettez le restant de parmesan dans un ramequin.

Au moment de passer (et surtout de rester, comme dit le m’sieur qui manie la pince et le tournevis à 3m50 de hauteur) à table, faites réchauffer la garniture et vous pouvez passer les spaghettis rapidement au micro-ondes.

Saupoudrez généreusement de persil la garniture et servez : les spaghettis puis la garniture. La dernière fois j’ai tout mélangé et c’était le bronx pour servir. Mettez le jaune d’oeuf cru à disposition des invités ainsi que le ramequin de parmesan s’ils veulent en ajouter.

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Vous m’en direz des nouvelles. C’est pas des nouilles jambon/gruyère !















épine noire

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24 novembre 2007 6 24 /11 /novembre /2007 15:59
Comment ça s’écrit d’ailleurs ? Je l’ai toujours entendu prononcé par ma grand-mère (avec un accent italien). Mais la recette est d’origine suisse... Ne cherchez pas, ça serait trop long à vous expliquer.

C’est une galette de pomme de terre avec des oignons très croustillants. Ca peut accompagner les viandes ou se manger avec du fromage blanc ail & fines herbes, une salade, du jambon...

Pour une poële de rustis (prononcer reuchti)
:

5 à 7 pommes de terre fermes (à faire cuire à l'eau le matin ou la veille sans les éplucher)
1 ou 2 oignons
l’équilent d’une cuillère à soupe de beurre + la même chose en huile
Sel, poivre (aromate-condiment Knorr, pour ze suisse touch’)
1 râpe normale, traditionnelle, standard, basique, àlac’
la râpe mandoline (avec la lame de la mort qui tue).
1 poële anti-adhésive.

ruch.jpgruch3.jpg




 





 
















Eplucher les pommes de terres et les râper avec la râpe côté gros trous.
Eplucher et émincer les oignons (avec la mandoline).
Faire chauffer la moitié du mélange beurre+huile dans la poële et étaler une fine couche d’oignons. Ajouter les pommes de terre râpées et bien aplatir la préparation de façon à ce que ça ressemble à une belle galette un peu épaisse. Saler, poivrer, knorriser..

Faire cuire à feu doux/moyen et lorsque le bord de la galette commence à griller, vous secouez un peu la poële pour vous assurez que la préparation n’attache pas.
Et là, comme ma grand-mère, vous faites sauter la galette comme une crêpe pour la retourner. Nan ! J’déconne !

Non, pour éviter de saloper votre cuisine, y’a moins spectaculaire...
Faites glisser les rustis dans une assiette, re-beurrer-huiler la poële, ajouter la couche d’oignons et là, retourner l’assiette dans la poële pour terminer la cuisson. Saler, poivrer, knorriser..

Alors ces reuchtis ?
ruchtis.jpg
Voilà ce que ça donne avec une petite saucisse de veau de Lorraine et une salade de mâche.


Le truc pour la salade de mâche : ajouter quelques gouttes de viandox dans votre vinaigrette, on jurerait  qu’elle est faite avec de l’huile de noix !
 
J’ai trouvé : ça s’écrit “röstis” ...

épine noire
 
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20 novembre 2007 2 20 /11 /novembre /2007 18:43
Pour 6 personnes :
200 g de chocolat noir
1 grande boîte de poires au sirop
125 g de sucre en poudre
125 g de beurre + 20 g pour le moule
4 œufs
50 g de faine de blé noir (ou de sarrazin)




Préchauffez le four, thermostat 4 (120°)
Beurrez le moule (moule à cake ou moule en couronne) à l’aide d’un pinceau avec les 20 g de beurre fondu.
Dans une casserole à fond épais, faites fondre le chocolat coupé en morceau dans une cuillère à soupe d’eau.
Mélangez avec une cuillère en bois pour obtenir une pâte lisse, ajoutez le sucre.
Retirez du feu et ajoutez tout en mélangeant le beurre découpé en noisettes.
Ajoutez les jaunes d’œufs un à un, la farine et 3 poires coupées en très petits dés.
Battez les blancs en neige très ferme, puis incorporez aussitôt pendant 25 minutes, thermostat 4 (120°) et puis pendant 10 minutes, thermostat 5 (150°).
Sortez du four, démoulez aussitôt, laissez refroidir.
Servez accompagné de poires au sirop et d’amandes grillées.


Régalez-vous !!!

Tête de Loup
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27 octobre 2007 6 27 /10 /octobre /2007 16:51
Le père Noël passant le 15 août chez moi, j'ai eu une friteuse en cadeau (et ça ne sert pas que pour les frites comme certains pensent).

J'avais entendu parler de chips de betteraves (fashion ou trendy ?). En tout cas, la betterave vinaigrette de la cantine pour moi c'est beurk. Me renseignant sur les blogs, je vois deux versions : l'une avec des betteraves cuites et l'autre avec des betteraves crues (fastoche à trouver... si, si, chez Leclère).

Première tentative avec une betterave cuite, la cata : c'est mou, c'est gras, c'est déjà cuit donc impossible à frire ! Second essai avec une betterave crue épluchée et taillée en fines lamelles avec une râpe "mandoline". Il suffit de bien éponger avec du salopin avant de les faire cuire comme des frites (2 fois environ 3/4 minutes en 2 passages). Vérifier qu'elles ne soient pas trop grillées, ça tourne amer sinon.

La cuisson terminée, disposez vos chips de betteraves sur du papier absorbant, saler un peu et saupoudrer légèrement de noix de muscade.

C'est très chic (trendy ou fashion ?) pour un apéritif et en ça en étonne plus d'un.




































On dirait des pétales de roses...  (et le premier qui me dit que la couleur est très "girly", je l'assomme avec des journaux féminins àlac' !)

épine noire


Note : sinon j'ai vu une troisième solution, il faut faire sécher les betteraves au four pendant 4-5 heures (pour cela, je suppose qu'il faut avoir des actions chez EDF/GDF)
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23 août 2007 4 23 /08 /août /2007 19:08
Pour quasiment les mêmes ingrédients, voici autant de recettes que de présentations. Alors heureux ?

Poivrons au thon

Une boite de 150g de thon au naturel
2 poivrons rouge
2 poivrons vert
1 échalotte
1 gousse d’ail
Brins de persil
150g de fromage frais (Carré frais Gervais)
4 cuillerées à soupe d’huile d’olive
Sel, poivre

Préchauffez le four à 180°
Posez les poivrons entiers sur la plaque du four (recouverte d’alu) et laissez-les rôtir au moins 45mn. Puis éteignez le four et laissez-les refroidir.

Pelez les poivrons, éliminez les côtes et les graines, épongez la pulpe avec du sopalin.

Hachez finement l’échalotte et la gousse d’ail. Rincez, essorez et ciselez le persil.
Egouttez le thon, écrasez-le avec une fourchette.
Mélangez avec le fromage frais, l’huile d’olive, le hachis d’échalotte, ail et persil.
Salez, poivrez.

Présentation en rouleaux :
Découpez la pulpe des poivrons en rectangles.
Sur chacun, déposez une cuillerée de la préparation au thon, et fermez-les avec une ou deux piques en bois. Gardez au frais.

Variantes à tartiner (à servir avec des petites tranches de pain de campagne)
Présentation en butte :
Tapissez l’intérieur d’une assiette creuse de film alimentaire, puis tapissez avec les tranches de poivrons en alternant les couleurs. Garnissez avec la préparation au thon. Rabattez et refermez le film alimentaire et mettez au réfrigérateur une à deux heures au moins. Démoulez dans un plat au moment de servir (voir photo).

Présentation en terrine :
Découpez les poivrons en très petits dés et ajoutez-les à la préparation au thon.
Garnissez-en une petite terrine. Gardez au frais.


Gabare de Loire


Thon aux poivrons

Et puis si vous avez une équipe de rugby à table ou le repas des voisins, voici une version "kolossale" et avec du fromage de chèvre (et la cuisson des poivrons en moins pour les feignasses dans mon genre...)

3 boites de thon au naturel
2 échalotes
3 poivrons grillés (ceux en bocal de chez Lideul sont parfaits)
500 gr de fromage de chèvre en faisselle
Sel, poivre, ciboulette, herbamare, aromates knorr...

Émincer les échalotes. Bien éponger avec du salopin les poivrons grillés. Enlever les filaments et les pépins s’il en reste. Et couper les poivrons en petits carreaux.

Dans un saladier mélanger le thon égoutté, les échalotes, les poivrons, le fromage et les aromates.




Mettre au frais et déguster sur des tranches de pain (grillées ou pas).



épine noire
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